Blog d'un cours de l'EPFC à Bruxelles

Ce blog ne constitue pas un cours, ni ne prétend remplacer la présence en classe.

Il complète simplement le cours donné deux fois par semaine à l'EPFC, à Bruxelles (rue de Stassart, 48-50, 1050 Bruxelles).

Pour plus d'info : www.epfc.eu

mardi 29 mars 2011

La Belgique égale le record de l’Irak

Voici un lien pour un article publié aujourd'hui sur le site du journal Le Soir.
Où l'on parle de "démocratie" à la belge.

289 jours sans gouvernement ! La Belgique égale ce mardi le record du monde de la plus longue crise politique, détenu par l’Irak. La Belgique une démocratie ? Bof… Par Véronique Lamquin


Et sur le même sujet, une carte blanche et un appel à la manifestation :
« La Belgique de demain ? Une Belgique multiculturelle, solidaire et unie ! »

vendredi 4 mars 2011

Pour (re)trouver la motivation pour apprendre le français …

… lisez l’article ci-dessous que j’ai trouvé en cherchant un peu d’info pour mon travail.

A+
Lieve

Pour préserver votre cerveau contre la démence soyez bilingue
Info rédaction, publiée le 21 février 2011
http://www.maxisciences.com


Une récente étude publiée aux Etats-Unis le 18 février montre qu'être bilingue doperait les capacités mentales de chacun, et protégerait également l'être humain contre la démence.

L'étude américaine a montré l'impact sur le
cerveau de l'apprentissage d'une nouvelle langue à l'âge adulte, ainsi que les avantages d'être complètement bilingue. Ainsi, parler plusieurs langues permettrait d'accroitre ses capacités mentales, et réduirait également les risques de développer avec l'âge une forme de démence. Ellen Bialystock, qui a mené cette étude, a ainsi expliqué à la presse : "Des expériences menées auprès d'adultes bilingues plus âgés indiquent que [...] le bilinguisme pourrait avoir un effet protecteur contre la maladie d'Alzheimer ou d'autres formes de démence". Lors de la conférence de l'Association américaine pour la promotion de la science, elle a ajouté : "Plus une personne a été longtemps bilingue, plus elle parle couramment sa deuxième langue", plus ses capacités mentales se maintiennent.

Cette étude s'est basée sur le cas de 211 personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Parmi elles, 102 étaient bilingues et 109 non. Si on se base sur l'âge de diagnostic de la maladie, il apparait ainsi que la maladie d'Alzheimer s'est déclaré 4,3 ans plus tard chez les personnes capables de parler une seconde langue, que chez les individus monolingue. Et Ellen Bialystock de préciser qu'à 50 ou 60 ans, les bénéfices de l'apprentissage d'une seconde langue sont indiscutables, même si l'on ne devient pas bilingue.