mercredi 26 mai 2010
La Belgique...... vue de Chine
Ces derniers jours (semaines, années ?), on en parle beaucoup, en classe et ailleurs : l'avenir de la Belgique.
Voici un dessin de Pierre Kroll, paru dans le Télémoustique du 5 mai. Je l'ai trouvé très pertinent, même si les références peuvent parfois vous poser quelques problèmes.
jeudi 20 mai 2010
Le stress au travail
RTBF.be Vidéo: Vidéo de Questions à la une - Flash Player Installation
Télévision : le jeu de la mort
(remarquez au passage le -x- pas très heureux à la fin de "jeu")
La fessée, un sujet à la mode
Le Conseil de l’Europe veut interdire la fessée
Rédaction en ligne, www.lesoir.be
jeudi 20 mai 2010, 21:22e
Le Conseil de l’Europe veut interdire la fessée et autres châtiments corporels sur les enfants en Europe. Les châtiments corporels sont déjà interdits dans 21 pays, mais certains restent réticents.
La fessée et autres châtiments corporels sur les enfants doivent être interdits dans tous les pays européens avant qu’ils ne deviennent des problèmes sociaux ou de santé, a averti le Conseil de l’Europe jeudi à Vienne. « Nous espérons avoir une zone libre de tout châtiment corporel appelée l’Europe », a déclaré à l’AFP la secrétaire générale adjointe du Conseil de l’Europe, Maud de Boer-Buquicchio, en marge d’une conférence de deux jours dans la capitale autrichienne sur les violences faites aux enfants.
Les châtiments corporels sont à ce jour interdits dans 21 pays, mais des pays comme la France et le Royaume-Uni sont réticents à imposer de telles lois, car les parents les considèrent comme une intrusion dans la sphère privée. « L’humiliation, l’aspect dégradant de la punition peuvent faire plus de mal et avoir plus de conséquences sur le long terme que la douleur physique », précise Mme de Boer-Buquicchio.
Les 47 Etats membres du Conseil de l’Europe, qui promeut la démocratie et les droits de l’Homme, ont édité avec des représentants de l’UE, des Nations Unies et d’ONG, des directives pour encourager les Etats à établir une législation protectrice de l’enfance.
Mme de Boer-Buquicchio craint que, les pays luttant pour sortir de la crise économique, cette thématique ne soit reléguée au second plan. « Si c’est le cas, c’est vraiment une vision à court terme… S’en occuper (des châtiments corporels) une fois qu’ils sont devenus un problème de santé ou social coûte beaucoup plus cher », a-t-elle prévenu.
(afp)