mardi 30 mars 2010
Cinéma belge francophone
Une piste, par le cinéma :
La promesse, des frères Dardenne (1995)
Eldorado, de Bouli Lanners (2008)
Nue propriété, de Joachim Lafosse (2006)
C'est arrivé près de chez vous, de Rémy Belvaux, André Bonzel et Benoit Poelvoorde (1992)
Misère au Borinage, de Henri Storck et Joris Ivens (1932)
Les barons, de Nabil Ben Yadir (2009)
Les convoyeurs attendent
lundi 22 mars 2010
Francophonie ? (en périphérie bruxelloise)
Pirette piège la commune de Dilbeek
n.c.
Vendredi 19 mars 2010
L’humoriste François Pirette, aussi connu pour ses nombreux canulars téléphoniques a encore frappé. Cette fois, c’est la commune de Dilbeek qui en fait les frais. Un sketch qui vient faire la lumière sur une réalité déconcertante.
La commune de Dilbeek se fait piéger dans un canular téléphonique. Un soit-disant consul ivoirien demande des informations sur le règlement communal en matière d’habitation. C’est François Pirette qui en est l’auteur. On le reçoit en néerlandais. Ne sachant pas parler la langue, ce faux consul ivoirien essaie donc de comprendre pourquoi son interlocuteur qui comprend le français refuse de lui répondre dans sa langue. « Ik mag niet «, lui répond-il plusieurs fois.
Devant l’insistance de cet imposteur et voulant éviter un incident diplomatique, l’employé de la commune obtient finalement l’autorisation de s’exprimer dans la langue de Molière. Il lui explique qu’il peut lui parler en français parce qu’il a affaire au consul de la Côte d’Ivoire mais que ce ne serait pas le cas s’il était Belge francophone.
Enfin, l’employé avoue que seuls les Belges francophones ne sont pas les bienvenus dans la commune. Un sketch qui fait rire (jaune) à l’heure où le décret « wonen in eigen streek « fait déjà couler beaucoup d’encre…
Bastien Pellegrin (St.)
Francophonie !
A cette occasion, la Communauté française organisait une série d'activités autour du français la semaine dernière (c'est fini !) et la France fait de même jusqu'au 27 mars !
Le ministère français de la Culture propose par exemple d'inventer des textes contenant les 10 mots suivants :
mentor, baladeur, mobile, cheval de Troie, crescendo, escagasser, variante, remue-méninges, galère, zapper.
Qui relèvera le défi ? (www.dismoidixmots.culture.fr)
Sinon, plus sérieusement, vous aurez peut-être envie de surfer sur le site du Service de la langue française et d'y découvrir des liens sur la nouvelle orthographe, la féminisation des professions etc : www.languefrancaise.cfwb.be
jeudi 18 mars 2010
Journaliste ou copiste multimédia ?
Bonne lecture !
PS : je vous ai préparé un petit exercice autour du texte, il sera plus facile si vous le lisez consciencieusement !
lundi 8 mars 2010
Regroupement familial
Notez que cela diffère sensiblement en fonction de la nationalité et du statut de la personne établie en Belgique !
Et pour répondre à la question posée en classe, oui, il arrive que des grands-parents (ou des petits-enfants) puissent rejoindre un Belge ou un ressortissant de l'UE pour autant qu'il soit prouvé qu'ils sont économiquement à sa charge.
Comme souvent, les mesures légales sont complexes mais puisque ça vous intéresse... vous avez là de la lecture !
jeudi 4 mars 2010
Fonction publique
- le pourcentage de contractuels dans la fonction publique est très élevé : plus de 20 % en France, 26 % dans les institutions fédérales belges (cf. Wikipédia et le Parlement wallon)
Ces agents ne bénéficient donc bien sûr pas de la sécurité de l'emploi, au contraire des fonctionnaires ;
- une entreprise publique comme Belgacom reste contrôlée en grande partie par l'Etat (actionnaire majoritaire) mais cotée en bourse et se pliant aux règles de l'économie de marché, elle n'hésite pas à licencier des travailleurs pour améliorer sa productivité. Globalement, il me semble qu'on peut dire que le statut des travailleurs y est hybride : anciens fonctionnaires de la RTT et nouveaux engagés contractuels. C'est bien la même évolution qui est à l'oeuvre (cf. Wikipédia et Solidaire).
Quant à la question de savoir pourquoi tant de jeunes rêvent (en France, en Wallonie, en Espagne et sans doute ailleurs) d'intégrer le secteur public, chacun d'entre nous pourra apporter sa réponse.
Pour une forme de stabilité sans doute, mais pas forcément synonyme de sécurité d'emploi, à en juger par le nombre de contractuels (CDD !). Pour ma part, je pense que beaucoup de gens veulent aussi être actifs dans un secteur non marchand (ou "moins" marchand) et pensent ainsi échapper à une logique de l'entreprise jugée trop compétitive. Il y aurait donc aussi un choix idéologique et une option de vie derrière cet engouement. À vérifier...
lundi 1 mars 2010
Questions à la Une : H1N1, la grande tromperie ?
Ici, vous avez droit à l'image, et à l'intégralité de l'émission ! (Les questions et l'exercice de vocabulaire vous ont été distribués en classe...)